Créer une Voie Nouvelle
En
tant qu’une autre génération qui passe, nous ne sommes rien ; mais
lorsque nous comprenons notre but, alors nous connaissons notre valeur.
Si
nous ne percevons pas que notre vie a un but ou que nous vivons alignés
avec ce but, alors notre vie ne se verra pas dotée d’une valeur, pas
même par nous-même. Peut-être prenons-nous plaisir à vivre certaines
expériences et nous éprouvons de l’affection pour certaines
personnalités ; peut-être même dirons-nous que ceux que nous
aimons nous donnent un but, mais notre vie, globalement, ne peut être
considérée comme dotée d’un but ; et la mort sera quelque chose
dont nous aurons peur.
C’est le sens d’un but qui retire l’aiguillon de la mort.
La plupart des gens qui se considèrent spirituellement conscients diraient qu’ils se savent dotés d’un but ; mais ils ne savent pas en quoi il consiste et par conséquent ils sont incapables de vivre en alignement avec ce but. La plupart du temps, ils ne réalisent pas grand-chose, ce qui généralement est pour eux source de souffrance et de déception. Essentiellement, ils envisagent le but de la mauvaise façon.
Le but n’est pas une activité au même titre que l’enseignement ou l’écriture. Le but implique que l’on sait comment utiliser l’énergie de manière constructive. Une fonction sert simplement de cadre, et la plupart des fonctions nous serviront de cette façon, pourvu que nous soyons uns avec ce but et que l’usage que nous faisons de notre temps et de notre énergie en soit imprégné.
Si nous sommes en conflit avec les exigences de cette fonction, si élevée soit-elle, cela ne nous permettra pas de vivre selon un but réfléchi.
Un but tirera de nous le maximum ; il nous demandera d’être tenaces, courageux, pleins de ressources et de sens de l’humour parce que ce sont là les qualités qui développent l’esprit de l’homme.
Vivre selon un but réfléchi n’exige aucune circonstance spéciale. Nous pouvons développer l’esprit dans les circonstances les plus prosaïques (et le perdre dans les plus raréfiées). Ce qui compte c’est de croire dans la valeur de notre entreprise, non pour elle-même, mais pour l’opportunité de vivre comme si elle compte, parce qu’ainsi nous donnons le meilleur de nous-mêmes, pour le plaisir, sans nous identifier à un résultat. L’esprit requiert de nous d’offrir le meilleur. Et ce meilleur est quelque chose de tout à fait différent de l’idée de bonté : donner le meilleur de nous-mêmes c’est fournir une expression exceptionnelle de ce que nous savons bien faire.
Nous devrions tous savoir ce que nous pouvons offrir de meilleur et être préparés à l’exprimer chaque fois que nous devons générer de nouvelles opportunités. En offrant ce que nous avons de meilleur, nous démontrons que nous investissons dans la vie et par conséquent l’esprit (qui s’exprime à travers la vie) investira en nous. À une autre époque on eut décrit ceci comme une activité générée dans le but de se concilier les dieux.
Solennité, grandiloquence et angoisse ne plaisent à personne d’autre que la personnalité imbue d’elle-même. Nous pouvons être sérieux à propos de quelque chose sans en faire toute une histoire, encore moins un drame.
Notre sens de ce qui est doté d’un but sera ouvert à toutes les éventualités. Il doit nous permettre d’affronter les difficultés, en considérant celles-ci non comme des problèmes, mais comme des défis. Sinon nous tomberons dans le piège consistant à considérer comme dotées d’un but uniquement les choses que nous estimons tourner correctement, tout en écartant comme aberrantes celles que nous jugeons comme tournant mal ; alors qu’en fait, ces dernières représentent l’occasion même devant être affrontée avec courage, ténacité et humour.
Chez le disciple, les oscillations de l’enthousiasme au découragement proviennent des réponses émotionnelles suscitées lors des différentes étapes dans le développement de toute entreprise. L’initié, qui a pour tâche de donner l’exemple d’une vie dotée d’un but, restera stable, malgré tout. Cela ne signifie pas qu’il ne va jamais reconsidérer les choses ni changer de direction, mais il ne perdra jamais sons sens d’un but et toutes ses actions en seront imprégnées.
La volonté spirituelle et le but sont les faces opposées de la même pièce. La détermination est l’aspect le plus inférieur de la volonté ; le plus élevé est la joie vécue lorsque nous relevons le défi consistant à offrir ce que nous avons de meilleur sans dépendre du succès. C’est ceci qui donne toute sa valeur à notre vie et c’est cette opportunité que nous offre 2012.
C’est le sens d’un but qui retire l’aiguillon de la mort.
La plupart des gens qui se considèrent spirituellement conscients diraient qu’ils se savent dotés d’un but ; mais ils ne savent pas en quoi il consiste et par conséquent ils sont incapables de vivre en alignement avec ce but. La plupart du temps, ils ne réalisent pas grand-chose, ce qui généralement est pour eux source de souffrance et de déception. Essentiellement, ils envisagent le but de la mauvaise façon.
Le but n’est pas une activité au même titre que l’enseignement ou l’écriture. Le but implique que l’on sait comment utiliser l’énergie de manière constructive. Une fonction sert simplement de cadre, et la plupart des fonctions nous serviront de cette façon, pourvu que nous soyons uns avec ce but et que l’usage que nous faisons de notre temps et de notre énergie en soit imprégné.
Si nous sommes en conflit avec les exigences de cette fonction, si élevée soit-elle, cela ne nous permettra pas de vivre selon un but réfléchi.
Un but tirera de nous le maximum ; il nous demandera d’être tenaces, courageux, pleins de ressources et de sens de l’humour parce que ce sont là les qualités qui développent l’esprit de l’homme.
Vivre selon un but réfléchi n’exige aucune circonstance spéciale. Nous pouvons développer l’esprit dans les circonstances les plus prosaïques (et le perdre dans les plus raréfiées). Ce qui compte c’est de croire dans la valeur de notre entreprise, non pour elle-même, mais pour l’opportunité de vivre comme si elle compte, parce qu’ainsi nous donnons le meilleur de nous-mêmes, pour le plaisir, sans nous identifier à un résultat. L’esprit requiert de nous d’offrir le meilleur. Et ce meilleur est quelque chose de tout à fait différent de l’idée de bonté : donner le meilleur de nous-mêmes c’est fournir une expression exceptionnelle de ce que nous savons bien faire.
Nous devrions tous savoir ce que nous pouvons offrir de meilleur et être préparés à l’exprimer chaque fois que nous devons générer de nouvelles opportunités. En offrant ce que nous avons de meilleur, nous démontrons que nous investissons dans la vie et par conséquent l’esprit (qui s’exprime à travers la vie) investira en nous. À une autre époque on eut décrit ceci comme une activité générée dans le but de se concilier les dieux.
Solennité, grandiloquence et angoisse ne plaisent à personne d’autre que la personnalité imbue d’elle-même. Nous pouvons être sérieux à propos de quelque chose sans en faire toute une histoire, encore moins un drame.
Notre sens de ce qui est doté d’un but sera ouvert à toutes les éventualités. Il doit nous permettre d’affronter les difficultés, en considérant celles-ci non comme des problèmes, mais comme des défis. Sinon nous tomberons dans le piège consistant à considérer comme dotées d’un but uniquement les choses que nous estimons tourner correctement, tout en écartant comme aberrantes celles que nous jugeons comme tournant mal ; alors qu’en fait, ces dernières représentent l’occasion même devant être affrontée avec courage, ténacité et humour.
Chez le disciple, les oscillations de l’enthousiasme au découragement proviennent des réponses émotionnelles suscitées lors des différentes étapes dans le développement de toute entreprise. L’initié, qui a pour tâche de donner l’exemple d’une vie dotée d’un but, restera stable, malgré tout. Cela ne signifie pas qu’il ne va jamais reconsidérer les choses ni changer de direction, mais il ne perdra jamais sons sens d’un but et toutes ses actions en seront imprégnées.
La volonté spirituelle et le but sont les faces opposées de la même pièce. La détermination est l’aspect le plus inférieur de la volonté ; le plus élevé est la joie vécue lorsque nous relevons le défi consistant à offrir ce que nous avons de meilleur sans dépendre du succès. C’est ceci qui donne toute sa valeur à notre vie et c’est cette opportunité que nous offre 2012.
 En
tant qu’une autre génération qui passe, nous ne sommes rien ; mais
lorsque nous comprenons notre but, alors nous connaissons notre valeur.Le projet Koruna est l’opportunité pour nous
d’offrir ce que nous avons de meilleur, fondé sur ce que nous comprenons et sur
ce que nous nous rendons prêts à apprendre. Il procure un but à tous ceux qui
s’engagent. Ceux qui le considèrent comme une stratégie de survie passent
complètement à côté du sujet. Nous faisons ce que nous faisons pendant que nous
vivons parce que c’est le meilleur que nous sachions faire dans les circonstances
données
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©Suzanne Rough
2010
2010
Articles
Koruna
Mantra
Introduction
Par nos perceptions
Ce qui est familier
En tant qu'une autre
génération
Notre personnalité
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Mantra Introduction Par nos perceptions Ce qui est familier En tant qu'une autregénération
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